Apporter quelque chose de nouveau à l’existant à Villecomte (stage d’été)

Première phase : Travail personnel, étude de graphisme et couleur. Chacun fait une peinture. Il est possible d’utiliser du collage, couture, installation in situ.

Méthode : Réfléchir sans réfléchir. C’est-à-dire se rendre sur place, chercher un lieu qui vous inspire, partir du ressenti, laisser venir sans réfléchir.A partir du ressenti faire des croquis, dessiner, créer un graphisme au moyen d’un objet symbole, d’une couleur.

Deuxième phase : Créer une proposition d’installation finale, éphémère apportant au lieu quelque chose de nouveau à l’existant. Il s’agit d’un travail en commun à partir de la mise en commun des différentes approches individuelle du lieu.

 

« Air, R » création du stage d’été à Saulx le Duc

L’objectif durant le stage est de donner forme sur le site à une installation  finale, éphémère, et collective, incluant l’ensemble des propositions formelles que chaque participant aura créé et réalisé à partir de matériaux présents sur le site.

La phase 1 : Compréhension du lieu : isoler ce que dégage le lieu du point de vue personnel choisi par chacun. Pour cela chacun fera une déambulation et un mini-carnet de voyage pendant le premier jour.

La phase 2 : Etablir un vocabulaire graphique. Choisir des mots, des adjectifs qualifiants le lieu du point de vue de chacun.

La phase 3 : Mise en commun. Temps d’une déambulation commune.

La phase 4 : Production d’un geste artistique. Réalisations de créations individuelles à installer sur le site.( peinture, dessins, volumes, mini-installations).

La phase 5 : Réalisation collective. Création d’un symbole rassemblant l’essentiel de ce que le site nous inspire.

 

Asseoir sa « présence d’artiste » sur la Friche des Lentillères

Depuis l’automne dernier, je, «  mais pas uniquement », défriche, défrichons un petit coin au milieu de la Friche des Lentillères à Dijon. Cet endroit fait partie d’un grand espace laissé à l’abandon depuis 10 ans et occupé pour une part par le collectif potager « pot’coll’ » ainsi qu’une ferme maraichère cultivant une production très locale au moyen de chantiers collectifs et de solidarité destinée à être vendue sur le quartier, à prix libre.

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